Cabane de Méollion

Je ne sais rien des ressources de cette cabane, sauf qu'elle dispose d'un lave-linge adapté aux cyclistes expérimentés...
Une table et un bas-flanc basique. Et d'un abri basique.

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avis aux amateurs compétents. La preuve en lien. Bien que l'idée de relier un appareil à une source d'énergie fournie par le travail humain direct ne soit pas neuve (les norias tournant grâce à des esclaves convenablement fouettés...), il y a dans l'exemple présent l'esquisse d'une réponse toute trouvée aux préoccupations écologico-environnementales. Je propose par conséquent de simplifier encore plus le problème de la lessive, en envisageant une révolution technologique de taille selon le protocole qui suit :
- on remplace les jambes par les bras (et les mains), - la roue de vélo par le battoir en bois de mélèze (le hêtre marche aussi pas mal),
- la petite estrade par une planche inclinée disposée au-dessus d'une quantité suffisante d'eau, courante ou semi-courante (via l'adoption d'un ingénieux dispositif que je propose de nommer "lavoir"),
- et enfin l'élément de lave-linge cylindrique récupéré, par un cylindre tronconique inversé ouvert sur la partie supérieure de plus grand diamètre (occultable par un élément mobile à courbure et périmètre sphériques, pour lequel on propose l'attribut de "couvercle"), dont je ne revendique en aucune manière la paternité de sa conception, due aux Américains - enfin les faux, ceux qui sont blancs et mâchent du caoutchouc parfumé aux dérivés de pétrole...moeurs bizarres, mais bon !
Qui ont nommé la chose "Washing-ton" (ou "bassine à laver", les Auvergnats jadis émigrés dans ces contrées inhospitalières et culturellement arriérées en ayant rapporté un équivalent qu'ils articulent "bachine à laver", vocable devenu de nos jours "machine à laver" du fait d'industriels peu scrupuleux sur le copyright et la linguistique - et dont la traduction ancienne a donné dans notre langue, par une habile et bien plus séduisante synthèse, le terme de "lessiveuse". Certes, la dite "lessiveuse" impose de dépenser de l'énergie afin de porter à température convenable l'eau additionnée de cendre (de préférence issue de la combustion de feuillus) laquelle, ayant transité par le champignon creux qui en occupe le centre (chose que les Américains ont été par contre incapables de concevoir, du fait de leur hostilité congénitalement partagée avec les Anglais pour tout ce qui ressemble à un champignon), retombera en pluie bouillante sur le linge amassé dans ladite "washington" (la mode est aux basses flagorneries adressées aux mangeurs de...etc... - cf supra), pour en chasser de manière radicale et durable les miasmes que le dur labeur au grand air et la fréquentation d'ongulés affectueux mais puants y auront accumulés.
En y réfléchissant bien, je crois n'avoir pas inventé grand chose, tant les réminiscences enfantines me renvoient des images de ma grand-mère et de ma mère, où celles-ci semblent précisément aux prises avec ce genre d'appareil.... MM.et Mmes Hulot, Joly, Cohn-Bendit, etc. etc. devraient y songer, tant qu'à faire, plutôt que s'entre-dévorer sous de fallacieux prétextes électoraux.
Quant aux successeurs, sujets et séides de feu le président Georges Lessiveuse, tous plus ou moins affublés de patronymes tout aussi cocasses que leurs moeurs alimentaires ou autres, ils ont enregistré quelques variables supplémentaires dans la composition de leur ersatz masticatoire : la gomme, avec le temps et quelques fâcheuses méconnaissances biochimiques accumulées, a transformé sous la pression de la réalité géopolitique son qualificatif d' "arabique" en "irakienne" puis "afghane", avec les conséquences qu'on sait.
Mais c'est une autre histoire.........................
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