Au fond du parking à gauche le sentier traverse le cours d'eau pour emprunter l'itinéraire du Tour du Mont-Blanc. Le sentier emprunte une ancienne voie romaine jusqu'au refuge de Nant-Borrant. Peu après on sort de la forêt et la vue se dégage. On continue la montée en passant près du refuge de la Balme jusqu'à une bifurcation proche des chalets de Jovet.
Si on ne veut pas faire l'aller-retour au col du Bonhomme on peut traverser le petit pont à gauche pour quitter l'itinéraire du TDM et emprunter le sentier qui mène aux lacs Jovet. Peu après le pont on a le choix de prendre un sentier qui s'élève à gauche de la cascade que l'on voit plus loin. En suivant ce sentier il y a la possibilité de monter sur la crête qui domine le lac pour profiter d'une vue plongeante sur le lac et les montagnes qui l'entourent. Le retour jusqu'aux chalets de Jovet se fait par le même sentier.
Si on choisit de monter au col du Bonhomme, il faut continuer tout droit en restant sur l'itinéraire du TDM jusqu'au col du Bonhomme. C'est l'option que j'ai choisie, cela représente environ 400m de D+ supplémentaire par rapport à l'itinéraire qui ne va qu'aux lacs Jovet. Au col du Bonhomme, une belle vue sur le Beaufortain récompense des efforts de la montée. Pour redescendre, on emprunte le même sentier jusqu'aux chalets de Jovet, où il faut traverser le pont pour rejoindre les lacs Jovet selon la description ci-dessus.
Pour le retour au parking depuis les chalets de Jovet il est possible d'emprunter le même itinéraire qu'à l'aller. Pour ma part, j'ai choisi de passer par les pâturages de la Balme pour rester un peu en altitude et bénéficier d'une vue sur le massif du Mont Blanc. Il faut alors suivre la direction du refuge des Prés. Après le refuge des Prés le sentier continue en direction des chalets des Prés, d'où on peut redescendre au refuge de Nant-Borrant et terminer la rando par la voie romaine jusqu'au parking. L'autre option consiste à emprunter le sentier qui part à gauche et qui remonte un peu. Ce sentier rejoint le parking en passant par l'Anery, itinéraire qui peut être assez glissant dans sa partie terminale par temps humide.
